Cette note provient d’une relecture de rapports et de notes écrites depuis 1 an, des échanges. Des questions sont formulées, qui pourraient être travaillées dans les réunions collectives.
Certaines questions touchent à la parole, aux problématiques des habitant•es, d’autres touchent plus aux travailleur•euses, à leur vécu, à la cohérence avec leurs missions et leurs associations.
Après lecture, pourriez-vous répondre à quelques questions, dans le formulaire, en bas de cette page. Merci
- Le statut de la parole des concerné•es (Voir apport théorique Brau)
- Les habitant•es veulent savoir ce qui va être fait de leur parole, à quoi l’entretien va servir
- L’entretien représente parfois un espace d’écoute unique pour des gens isolés ; d’où une posture délicate pour les travailleur•euses
- Un vécu de non-reconnaissance des habitants
- Comment rendre leur parole plus « dense » ? Quelle place pour la restitution de cette parole dans les réunions collectives ?
- Que faire des contenus apparus dans les entretiens et qui ne reviennent pas dans les réunions collectives
- Le rapport professionnel•les/habitant•es (Rancière)
- La question du rapport de nombre (beaucoup d’animateur•ices pour peu d’habitant•es, parfois) amène parfois une posture inconfortable pour les travailleurs
- Rendre les habitant•es acteurs dès le départ dans les réunions collectives : comment ?
- Partir d’actions collectives déjà là dans les quartiers : atouts et limites
- Comment à la fois proposer une cadre pour dépasser le « café du commerce » et rester dans une posture de « maître ignorant » ?
- Travail à partir d’incidents réels (via un travail d’analyse et de recherche de pistes ?)
- Attitudes machistes ou racistes
- Réduction rapide du nombre de participant•es aux réunions collectives
- Personnes qui perturbent l’animation prévue pour une réunion collective
- Personne dont le profil compliqué peut-être le fait que d’autres habitant•es rejoignent la dynamique
- Le rapport à la micro-action (Dewey)
- Un constat d’urgence de « passer à l’action » (au sens micro-action, surtout)
- Les animateur•ices EP risquent d’être absorbé•es par les micro-actions
- Comment faire pour suspendre les réponses trop hâtives (Dewey) tout en maintenant la dynamique collective (tenir compte de l’impatience de voir des choses « qui changent »)
- Vers une démarche plus politique
- Comment créer de l’inter-quartier ? Sur quels sujets ?
- Récurrence de la question du rapport avec la société de logement
- Créer un groupe de « délégué•es de quartier » ?
- Rôle des deux centres culturels ?
- Cohésion du maillage ALA_
- Éducation permanente et cohésion sociale : glissements ?
- Sentiment de fragmentation d’ALA_ : Comment créer de l’inter-quartier ? Sur quels sujets ?
- Quels outils de communication, espace commune entre travailleurs et entre/avec les habitants ?